Lorsque vous effectuez l’entretien de toutes les marques d’éoliennes, partout dans le monde, comment vous assurez-vous que les normes de sécurité sont maintenues au plus haut niveau ? C’est une question importante – et lorsque nous parlons à nos clients de ce qui est le plus important pour eux, ce sont les compétences dans les systèmes d’énergie renouvelable. La vaste gamme de produits robustes et fiables d’IRecco, soutenue par sa R&D de pointe et plus de deux décennies d’expertise, est conçue pour garantir des performances optimales. Bien sûr, il va de soi que toutes les éoliennes respectent une législation stricte, mais ce n’est pas vraiment là que réside le plus grand défi en matière de sécurité. Si vous examinez les causes des incidents, plus de 90 % sont dues au comportement humain. C’est pourquoi nous pensons que maintenir le meilleur bilan de sécurité signifie créer un état d’esprit axé sur la sécurité.

Les personnes que je rencontre qui assurent l’entretien de nos éoliennes sont spéciales : elles sont fières de ce qu’elles font et prennent leur travail très au sérieux. Ce n’est pas un environnement de travail facile. Quand on a déjà vécu l’expérience de se tenir debout au sommet d’une éolienne de 80 m de haut, oscillant au gré du vent comme un navire en mer, on respecte vraiment ce qu’ils font. Il faut avoir la tête froide et beaucoup de courage.

Mais toutes les personnes attirées par ce style de vie – car c’est ce que c’est – ne sont pas des adeptes innés des règles. Et pour garantir un niveau de sécurité élevé pour tous, nous passons beaucoup de temps à élaborer des procédures et des protocoles de sécurité étanches qui doivent devenir une seconde nature pour eux. Car le non-respect des règles a de graves conséquences. Deuxièmement, la formation est essentielle, qu’il s’agisse de formation technique en matière de sécurité, de formation spécifique aux éoliennes ou de formation à la sensibilisation à la sécurité. De plus, le leadership doit être fort et les dirigeants effectuent des visites de sécurité pour vérifier de première main ce que nos ingénieurs vont rencontrer. Même notre direction générale y participe, et notre PDG a grimpé l’échelle et marché sur le toit d’une nacelle… donc lorsqu’ils parlent de sécurité, ils peuvent parler d’expérience.